mardi 29 septembre 2015

J'ai testé... les aiguilles circulaires

Depuis des mois je me disais qu'un jour il faudrait que je teste les aiguilles à tricoter circulaires. Et puis cet été, j'ai hérité d'un lot de tissus, fils en tous genres, aiguilles, modèles, etc... dans lequel j'ai trouvé des aiguilles circulaires ! C'était l'occasion ou jamais de tester. Dans un premier temps je me suis demandé comment démarrer, mais Internet m'a appris, et voilà, j'ai attrapé un nouveau virus : je tricote en rond !

J'aime :
  • le moindre encombrement, j'ai testé en voiture (côté passager), dans un sac léger en vrac, aucun risque d'abîmer un passant avec les bouts qui ne dépassent pas
  • l'idée de ne plus avoir d'assemblage à faire ou si peu !
  • l'évitement du retournement des aiguilles en bout de rang
  • l'annulation des calculs tous les deux rangs
  • le point jersey (normalement un rang à l'endroit, un rang à l'envers) ce ne sont que des rangs à l'endroit !
  • je peux tester le bonnet sur le modèle en lui collant sur la tête directement en cours d'exécution
  • l'annulation du poids sur les aiguilles (un coup tout à droite, un coup tout à gauche), mais une bonne répartition de la charge



J'aime moins

  • la souplesse du fil fait que la tension de la laine doit être très régulière.
  • la manipulation du câble entre les deux aiguilles, puisqu'on n'a plus les manipulations en bout de rang
  • les rangs en spirale sont interminables !!!
  • le poids total de la pièce. J'imagine que quand ont fait un pull on a tout sur les aiguilles au final et le dos doit le payer (endroit + envers + les manches !)
  • le rattrapage des mailles n'est pas du tout évident. Je vous avais expliqué ici comment faire avec un crochet, mais là... il faut compter sur la souplesse du tricot, et c'est plus délicat


NB : Aucun enfant n'a été maltraité pour la production de ce billet.


mardi 22 septembre 2015

Tatie Crochet #1

La grande nouvelle du moment : je vais bientôt être tatie !!!!!!!!!!!!!!! Et deux fois en Novembre ! Trop contente pour ma sœurette et ma belle-sœur, tellement impatiente de pouvoir pouponner, en attendant j'en profite pour crocheter "spécial bébé".

Ma sœurette attend une mini princesse (à moi le rose, le mauve, le fuchsia, les frou-frous, les fleurs, les cœurs, les paillettes, la dentelle, le tulle.... ok, ok on se calme ! Girl power !)

Je vous présente donc son petit hochet au crochet :


Il a déjà voyagé jusqu'à sa future chambre dans son petit sac de transport :


Bon, j'y retourne, j'ai également un petit neveu en préparation ! (à moi le bleu, le turquoise, le beige, les marinières, la polaire, les oreilles sur les capuches..... Ok, ok je sors !)

Tatie gâteau :)


mardi 15 septembre 2015

Bougie Bonheur... en images !

Comme, à votre demande, j'avais promis un "tuto" en image lors de mon prochain atelier bougie. C'est chose faite, here we go !!!

1 - Il faut un peu de matériel : un récipient dans lequel couler la bougie (ici un joli pot en terre Jardin d'Ulysse), de la cire de soja, une fragrance naturelle de votre choix (ici Musc de Provence), une balance très précise, un bol, un mini fouet, une pipette graduée, un morceau de mèche pour bougie ainsi qu'un support métallique (pour fixer la mèche).


2 - Faire fondre la cire au bain-marie (pour les quantités, c'est évidemment en fonction du récipient dans lequel sera la bougie....)


3 - Ajouter la fragrance et bien mélanger. Mettre la mèche dans la cire fondue.


4 - Sortir la mèche de la cire et la mettre dans du papier aluminium, bien à l'horizontale. La mettre quelques minutes au congélateur.


5 - Verser la cire dans le récipient.


6 - Sortir la mèche du congélateur, placer le support sur l'une des extrémités.


7 - Mettre la mèche au centre de la bougie (et tenter de la faire tenir !).


Et quelques heures plus tard......


Prête à offrir ! Un cadeau très remarqué pour une de mes collègues. J'espère que cela vous aura donné envie d'essayer de faire vos propres bougies !


mardi 8 septembre 2015

J'ai testé... le cours de cuisine

Pendant l'été j'ai offert à mon amoureux un cours de cuisine gastronomique pour deux. J'avais déjà fait à Paris à l'Atelier des Chefs et j'avais trouvé ça très sympa. Cette fois, c'était à Metz, à l'Académie des Chefs. Le concept reste identique. Vous venez comme vous êtes, on vous fournit le tablier, le matériel de cuisine et les ingrédients déjà tout près (fruits et légumes lavés, ingrédients déjà pesés...). Vous suivez le cours, qui vous guidera pour l'élaboration d'un ou plusieurs plats et vous dégustez le résultat.
A Paris, j'avais eu la chance de suivre un cours donné par Clément Marot, restaurateur de Lille.
A Metz c'est Michaël Thery qui a officié devant nous. Le jeune homme a su nous expliquer ce que nous devions faire, il a montré les gestes à reproduire et ceux que nous ne parviendrons sans doute jamais à acquérir, et il a répondu à toutes les questions posées ce soir-là. Sans retenue, ni snobisme.
Nous avons fait avec lui un menu gastronomique, soufflé au fromage, wok de poulet et crumble aux pommes, mais évidemment les intitulés complets sont plus prometteurs !



J'ai aimé :
  • partager le cours avec mon chéri
  • profiter de l'expertise de Mickaël Thery
  • le tablier en tissu (à Paris c'était des tabliers jetables tout pas beaux)
  • découvrir de nouvelles saveurs, comme celles de la noix de tonka ou du saké de cuisine
  • tester l'usage d'un couteau de pro
  • que les marques partenaires ne soient pas rappelées dans chaque phrase du chef... (mais affichées partout, c'est de bonne guerre)
  • la libre interprétation de la recette (la quantité de gingembre était à volonté)
  • la dégustation s'est faite entre les plats, et pas à la toute fin du cours. 2 heures ça peut être long quand on a les papilles excitées et les jambes en compote !
  • l'échange possible entre participants, nous étions 8 et nous avons passé un bon moment


Je n'ai pas aimé : 
  • le débit du chef, parfois il allait un peu vite, et on s'est retrouvé dans le groupe avec des oignons débités en cubes et d'autres effilés. Pourtant on a tous bien entendu les consignes, si si !
  • le couteau... je ne sais même pas comment il s'appelle. Ce n'était pas un couteau de chef, ni un couteau d'office, ni un couteau sentoku, pourtant il lui ressemblait mais le fil est parfaitement droit... et il n'était pas très aiguisé...
  • les recettes sont récupérables par le net (via le compte créé pour la résa) mais ne sont pas tout à fait les recettes faites en cours. Du coup, c'est plus difficile de reproduire ce qu'on a appris à faire, sans les proportions, et avec des variantes...


Et toute Rabelaisienne que je suis, j'étais ravie d'apprendre que l'Académie des Chefs a participé au trophée Grangousier 2015 et l'a remporté fin aôut. Il s'agissait de cuisiner la mirabelle et le parrain de l'épreuve n'était autre que le voisin Olivier Streiff (demi-finaliste de Top Chef) que Chrissie adore ! On a beau vivre éloignées, on a quand même des valeurs communes ! ;-)

photo piquée sur le compte Facebook de l'Académie des Chefs
Mickaël Thery et Olivier Streiff


NB : vous avez vu la vidéo dans les liens ?

mardi 1 septembre 2015

Douillet crochet

Au bureau, une de mes fidèles amis est ma tasse de café. Alors pour cette rentrée, je lui ai offert un petit cadeau fait main.